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Date de création : 03.12.2005
Dernière mise à jour : 22.09.2010
7036 articles


tribus amérindiennes

Péoria

Publié le 12/08/2008 à 12:00 par thewolf
Péoria
Nation : Illinois Territoire : -- --
Famille Linguistique :

Un des groupes les plus importants et les plus peuplés des Illinois ; parmi les autres tribus illinoises citons les Cahokias, les Kaskaskias, les Tamarois et les Metchigamias. Lorsque Marquette et Jolliett prirent contact avec eux pour la première fois en 1673, ils demeuraient dans un ou plusieurs villages sur la rive ouest du Mississipi, au confluent du Missouri. Plus tard, on les retrouve près du lac qui porte leur nom, sur la rivière Illinois. Finalement, la guerre et la maladie firent parmi eux les mêmes ravages que chez les autres Illinois, et ils disparurent presque complètement.

Penobscot

Publié le 12/08/2008 à 12:00 par thewolf
Penobscot
Importante division abénaquise, les Pentagouets vivaient aux alentours de la baie et de la rivière Penobscot, dans le Maine.
Leur principal village était situé à Pentagouet (aujourd'hui Castine) ; leur langue et leurs coutumes étaient très proches de celles des Canibas. Tout comme ces derniers, ils se battirent contre les colonialistes lors de la guerre appelée King Philip's War et attaquèrent plusieurs fois la frontière de la Nouvelle-Angleterre pendant les guerres de la ligue D'Augsbourg et de la Succession d'Espagne. Ils étaient les alliés des Français à la fois parce qu'ils y trouvaient leur avantage et aussi parce qu'ils subissaient l'influence d'hommes de la trempe de BERNARD-ANSELME et de JEAN-VINCENT D'ABBADIE de Saint-Castin , et du père Pierre de La Chasse.
Après le traité d'Utrecht, les Pentagouets se joignirent aux Canibas et aux autres Abénaquis pour mettre un frein à l'envahissement progressif de leur territoire par les Anglais ; leur résistance finit par une guerre ouverte avec le Massachusetts. En 1725, leur chef, WENEMOUET , fut le premier à faire la paix mais ce geste fut cause de discordes entre eux et les autres Abénaquis, en particulier ceux du Canada. À partir de 1749, ils ne se battirent plus contre les Anglais et, contrairement aux Canibas, n'allèrent pas rejoindre les Abénaquis de Saint-François, près de Québec. La tribu des Pentagouets est aujourd'hui une des plus peuplées de la Nouvelle-Angleterre, et continue d'occuper une partie de ses territoires ancestraux, à Oldtown, sur la Penobscot.

Pawnee - Horn People

Publié le 03/07/2008 à 12:00 par thewolf
Pawnee - Horn People
Nom francophone : Panis Nom autochtone : Chahiksichahiks
Nation : Territoire : -- Grandes Plaines --
Famille Linguistique : Caddoan

De Paariki, "cornu", allusion à leur coiffure, ou de Pansu, "chasseur". Eux-mêmes s'appelaient Chahiksichahiks "hommes des hommes".

Divisés en quatre tribus, les Pawnees étaient des semi-nomades vivant dans des abris de terre. Comme les Mandans, ils se partageaient entre la culture du maïs et la chasse aux bisons. Pratiquaient des rites religieux complexes où les éléments naturels (le vent, le tonnerre, les éclairs, la pluie) étaient les messages envoyés par Tirana, la force supérieure. Une série de cérémonies ponctuait la croissance du maïs avec des sacrifices humains (généralement une captive Comanche). Ils connaissaient la vannerie, la poterie et le tissage.

Venus du sud, ils occupèrent la plaine avant l'arrivée des Sioux. Coronado les rencontra en 1541. Au début du XVIIIe s., les Pawnees furent alliés aux Français pour commercer et contrer la pression espagnole. Ils s'épuisèrent au XIXe siècle dans leurs luttes contre les Dakotas. Fournirent des éclaireurs aux armées US. Cédèrent leurs terres par traités et s'installèrent en Oklahoma.

Environ 10000 en 1780. 1149 en 1970.

Ils appartenait à la famille des langues caddos et vivaient dans la vallée de la rivière Platte, dans le territoire qui est aujourd'hui le Nebraska. On ne sait pas comment leur nom en vint à désigner tout esclave indien, mais quand DUSTINÉ visita les Panis en 1719, ils l'accueillirent fort mal car les Osages leur avaient dit que les Français étaient à la recherche d'esclaves.

Passamaquoddy

Publié le 03/07/2008 à 12:00 par thewolf
Passamaquoddy
Nom francophone : Pesmocody Nom autochtone :
Nation : Abenaki Territoire : -- --
Famille Linguistique :

(De la famille algique ; en anglais, Passamaquoddy)

Petite tribu appartenant à la confédération abénaquise mais parlant un dialecte voisin de celui des Malécites. Les Pesmocodys occupaient les régions avoisinant la baie de Pesmocadie (Passamaquoddy), la rivière Saint-Croix et le lac Schoodic, à la frontière du Maine et du Nouveau-Brunswick.

Papinachois

Publié le 03/07/2008 à 12:00 par thewolf
Papinachois
De la famille algique) Les premiers missionnaires situaient ces Indiens dans les hautes terres entre la région du lac Mistassini et le Labrador ; ce sont les ancêtres des Indiens que nous connaissons aujourd'hui sous le nom de Montagnais-Naskapis.

Ottawa

Publié le 03/07/2008 à 12:00 par thewolf
Ottawa
Nom francophone : Outaouais, Outaouacs Nom autochtone :
Nation : Ojibwa Territoire : -- Nord-Est --
Famille Linguistique : Algonquien

De l'algonquin adawe, "commerce".
Activités traditionnelles des Algonquins des Grands lacs. Les Ottawas servaient d'intermédiaires entre l'Est et l'Ouest.
Repoussés par les Iroquois au nord du lac Michigan, ils furent alliés inconditionnels des Français. Après le traité de Paris (1763), leur chef Pontiac refusa l'hégémonie anglaise et poursuivit la lutte.
Les Ottawas firent partie de la fédération des Nations Indiennes Unies de Joseph Brant, hostile à l'expansion américaine. Mais ils cédèrent leurs terres au gouvernement fédéral par des traités successifs (1785, 1789, 1795, 1836).
Il existe une réserve en Oklahoma, et beaucoup d'Ottawas sont établis au Michigan et en Ontario.

(Mot algique qui signifie 'commerçant' ; en anglais, Ottawa)
Pendant tout le XVIIme siècle, ce nom a été donné aux tribus algiques de la région des Grands Lacs et aux Népissingues, aux Sauteux et aux autres Indiens qui faisaient fonction d'intermédiaires. Plus précisément, il s'agit de quatre tribus qui ont la même langue et la même culture : les Kiskanons (Culs-Coupez), les Sinagos, les Outaouais du Sable et les Nassauaketons. À l'origine, ils étaient peut-être divisés en clans patrilinéaires, ou en phatries. Ces divisions ont disparu. Les Outaouais remplacèrent les Hurons, décimés par l'attaque des Iroquois de New-York en 1649-1650, comme intermédiaires, mais les pressions exercées par les Iroquois les forcèrent à leur tour à abandonner leurs anciens villages sur les rives et dans les îles du nord du lac Huron. Ils émigrèrent avec les Népissingues jusqu'à la région nord du lac Nipigon et la région sud de Chagouamignon, à l'ouest du lac Supérieur. Ils revinrent à l'île Manitoulin et à Michillimakinac entre 1670 et 1680 ; beaucoup suivirent Cadillac [LAUMET] à Détroit en 1700. Parmi ces derniers, quelques-uns demeurèrent au Michigan et d'autres repartirent quelques années plus tard pour regagner leurs anciens territoires du Nord. Les Outaouais cultivaient le maïs, se livraient à la pêche et à la chasse et étaient également trappeurs. Ils comptèrent parmi les alliés les plus fidèles de la France, ainsi que CHINGOUESSI , MISCOUAKY et KOUTAOILIBOE le firent remarquer à Montréal en 1700-1701. Ils prirent part à de nombreuses batailles contre d'autres tribus et contre les Anglais. En 1706, toutefois, les Outaouais de Détroit menés par LE PESANT et OUTOUTAGAN attaquèrent les Miamis et les Hurons qui habitaient dans les environs. Une telle situation mettait en péril tout le réseau d'alliances que la France avait réussi à créer parmi les Indiens de l'Ouest. Mais grâce à l'intervention de KINONGÉ et KOUTAOILIBOE , l'ordre revint et la paix fut sauvegardée.

Oto

Publié le 03/07/2008 à 12:00 par thewolf
Oto
Nom francophone : Nom autochtone : Wat'ota
Nation : Territoire : -- Grandes Plaines --
Famille Linguistique : Siouien

De Wat'ota, traduit par "libertin" ; pourrait plus vraisemblablement signifier "lascif" ou "inconstant". Eux-mêmes s'appelaient Chewaerae.
Semi-nomades cultivateurs et chasseurs.
Dans leur migration vers l'ouest, ils se seraient d'abord séparés des Iowas puis des Missouris. Visités par Cavelier de la Salle en 1680. Cédèrent leur territoire en 1854. Quand leur réserve sur la rivière Big Blue fut vendue en 1881, ils partirent pour l'Oklahoma où ils partagèrent des réserves avec les Poncas, les Pawnees et les Missouris.
De 900 en 1780, ils étaient 1280 en 1985.



Peuple de langue siouse tout près des Missouris, des Aiouez et des Puants par la langue et les migrations qu'on leur a attribuées. On estime qu'ils étaient environ 1 000 à l'origine. Selon la légende, la fille d'un chef fut séduite par le fils d'un autre chef, ce qui amena les Missouris à se séparer des Otos et valut à ces derniers le surnom de Wa'to'tana ou « débauchés ». En 1673, Marquette situe les Otos de façon assez vague, peut-être dans l'ouest de l'Iowa. Vers 1680, on signale leur présence sur les bords du cours supérieur de l'Iowa et sur les bords de la rivière Verte (appelée aussi rivière Bleu et de nos jours Blue Earth River, dans le Minnesota). Peu après 1700, les Otos passèrent le Missouri et s'installèrent dans le sud-est du Nebraska, tout en continuant de chasser dans le sud-ouest de l'Iowa et près du cours supérieur de la Grande Rivière. En 1785, on rapporte qu'il existait un village oto au milieu d'une prairie, sur une petite colline, à quelque 15 lieues de la rivière Platte. En 1720, les Otos s'allièrent aux Panis et à quelques commerçants français pour repousser l'expédition espagnole sur la Platte, qui était commandée par Villazur.

Osage

Publié le 03/07/2008 à 12:00 par thewolf
Osage
Nom francophone : Osages Nom autochtone : Wazhazhe
Nation : Territoire : -- Grandes Plaines --
Famille Linguistique : Siouien

Corruption par des commerçants français de leur nom, Wazhazhe.
La plus importante tribu des Dhegihas. Organisation identique aux autres tribus du groupe: descendance par les pères, interdiction de mariage entre membres du même clan, spécialisation des clans dans leur activité au service de la communauté. La tribu était partagée en deux moitiés celle de la guerre et celle de la paix.
Jacques Marquette les rencontra en 1673. Furent alliés des Français pour vaincre les Foxes en 1714. Se signalèrent ensuite par une intense activité guerrière, leur nom devenant synonyme d' "ennemi" pour les autres Indiens. En 1802, des commerçants français les persuadèrent de remonter le cours de I'Arkansas pour s'installer dans ce qui allait devenir l'Oklahoma. Subirent successivement la venue des tribus chassées de l'est du continent et l'invasion des émigrants blancs.
D'abord établis dans une réserve au Kansas, ils s'installèrent définitivement en Oklahoma en 1870.
6200 en 1780; 6743 en 1985.



(Adaptation française du mot Washaze : enfants des eaux)
Ils formaient une phratrie de la division des Hunkahs. Peuple de langue siouse, les Osages, au nombre d'environ 6 000, étaient, vers la fin du XVIIIme siècle, divisés en trois principaux groupes vivant en villages : Grands Osages, Petits Osages et Osages des chênes ou de l'Arkansas. En 1673, Marquette situe les Osages au sud du Missouri, voulant sans doute indiquer leur présence dans leurs établissements traditionnels sur le cours supérieur de la rivière Osage (comté de Vernon, Missouri). Attirés par les avantages qu'offrait la traite des fourrures, un groupe qu'on désigna plus tard sous le nom de Petits Osages s'installa, au début du XVIIIme siècle, sur la rive sud du Missouri, près de Wakenda Creek, et leur association avec les Missouris du voisinage dura jusqu'en 1790 ou 1800. Les Osages de l'Arkansas fondèrent un village permanent à quelques kilomètres au nord de Claremore, dans l'Oklahoma. Au XVIIIme siècle, les Osages eurent la main haute sur le commerce de la région s'étendant entre les rivières Missouri, Arkansas et la rivière Rouge. De plus, ils chassèrent les ancêtres des Wichitas, qui parlaient une langue caddo (Paniouassa), de leurs campements de l'est de l'Oklahoma vers 1750. La vie des Osages suivait le cycle des saisons : en automne et en hiver, ils vivaient sur le plateau des Ozarks au Missouri et dans le nord de l'Arkansas ; ils chassaient l'été et l'automne le bison dans l'Oklahoma et le Kansas, pénétrant dans l'ouest jusqu'à Great Saline.

Onondaga

Publié le 02/07/2008 à 12:00 par thewolf
Onondaga
Nom francophone : Onontagué Nom autochtone :
Nation : Iroquois Territoire : -- --
Famille Linguistique : Iroquoïen

Ils se désignaient eux-mêmes du terme de Onontage, dont la signification emblématique est « Peuple de Collines ». Les Onontagués occupaient la partie centrale du territoire des Cinq-Nations et c'est pour cette raison que le siège politique de la ligue leur fut confié. Leur rôle de « Frères aînés » au sein de la ligue les amena à servir de médiateurs entre les autres « Frères aînés » (Agniers et Tsonnontouans) et les « Jeunes Frères » (Onneiouts et Goyogouins). C'est chez les Onontagués que se discutaient les questions importantes et que se prenaient les décisions concernant les tribus membres ; certains de leurs chefs, tels TEGANISSORENS , OHONSIOWANNE et ARADGI , avaient une grande influence. Leur territoire s'étendait en direction de l'ouest, de la rive occidentale du lac Oneida jusqu'au lac Skaneateles, dans l'état de New York. Durant presque toute la période du conflit qui opposa la Nouvelle-France aux colonies anglaises, les Onontagués, comme les autres membres de la ligue, furent les alliés des Anglais. De temps à autre des missionnaires jésuites s'établissaient chez les Onontagués --- JEAN et JACQUES DE LAMBERVILLE en sont deux exemples --- mais parvenaient rarement à les convertir. CHARLES LE MOYNE de Longueuil et PAUL LE MOYNE de Marincourt furent tous deux adoptés par cette tribu et essayèrent d'influencer les Iroquois en faveur de la Nouvelle-France. Il reste encore de nos jours des Onontagués ; ils vivent dans une petite réserve située sur leur ancien territoire, au sud de la ville de Syracuse.

Oneida

Publié le 02/07/2008 à 12:00 par thewolf
Oneida
Nom francophone : Onneiout Nom autochtone :
Nation : Iroquois Territoire : -- --
Famille Linguistique : Iroquoien

Ce nom vient d'un mot iroquois Tiioneniote, qui a la signification emblématique de « peuple de la Pierre debout ». Comme les autres groupes de la même famille, les Agniers et toutes les autres tribus membres de la ligue, les Onneiouts vivaient dans des villages et cultivaient le maïs, les haricots et les courges. Ils pratiquaient aussi, selon la saison et sur de vastes étendues, la chasse, la pêche et la cueillette de plantes sauvages. Au sein de la ligue, les Onneiouts ainsi que les Goyogouins étaient surnommés « les Jeunes Frères ». Le territoire onneiout s'étendait approximativement de l'actuelle Utica, New York, jusqu'au lac Oneida à l'ouest. Le père Pierre MILLET se rendit chez les Onneiouts ; il y baptisa GOUENTAGRANDI , une femme onneiout qui par la suite alla vivre à la mission de Sault-Saint-Louis (Caughnawaga).
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